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Les réponses d'hommes d'Etat
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à ma lettre du 22 octobre 2008
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Objet de ma lettre :
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La crise... ou l'esclavage moderne de
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La crise... ou l'esclavage moderne de
l'Argent Dette des banques privées
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Lecteur assidu de la presse internationale depuis des années, le citoyen du monde que je suis a violemment ressenti le besoin de réagir face à l’ampleur de la crise financière qui s’annonçait et dont nous ne subissons aujourd’hui que la première phase… avant de nouveaux évènements mondiaux redoutables (sinon effroyables) qui risquent de nous toucher de plein fouet dans un très proche avenir (prenant leur source en Asie, en Iran et/ou en Europe de l'Est). Hélas...Réagir, mais pourquoi ? Pour une raison simple et vitale qui doit tous nous alerter et nous réveiller : en collusion avec les banques privées, la malhonnêteté des gouvernements et des grandes entreprises (major companies) dépasse l’imagination ! Pour citer Monsieur Albert Einstein « Notre monde est un endroit redoutable. Non pas tant à cause de ceux qui font du mal qu’à cause de ceux qui voient ce mal et ne font rien pour l’en empêcher ». En clair, nous devons tous nous impliquer sans plus de délais avant qu’il ne soit définitivement trop tard pour l’humanité. Pas moins. Hélas, encore…
Réagir, mais comment ? Fratrie oblige, c’est en octobre 2008 que l’un de mes cinq frères, Stéphane Gires, m’a apporté la source remarquable qui allait mettre en cohérence toutes mes réflexions et mes notes ; bankster.tv, site à consulter d’urgence ici http://www.bankster.tv/. C’est donc en m’appuyant (très) largement sur le contenu de ce site instructif que j’ai rédigé ma lettre (scannée et reproduite ci-dessous), lettre que j’ai adressée le 22 octobre 2008 à cinq hommes politiques d’envergure nationale. Les quatre principaux hommes politiques actuellement en fonction au sommet de l’Etat français, ainsi que l'ancien Ministre d’Etat, Député-maire de la ville où je réside (Dunkerque) :
Monsieur Nicolas Sarkozy Président de la République
- Palais de l’Elysée - 55, rue du Faubourg Saint-Honoré 75008 Paris
Monsieur Gérard Larcher Président du Sénat
- Palais du Luxembourg - 26, rue de Vaugirard 75291 Paris cedex 06
Monsieur François Fillon Premier ministre
- Hôtel de Matignon - 57, rue de Varenne 75700 Paris
Monsieur Bernard Accoyer Président de l’Assemblée nationale
- Assemblée nationale - 126 rue de l'Université 75355 Paris 07 SP
Monsieur Michel Delebarre Député
- Assemblée nationale - 126 rue de l'Université - 75355 Paris 07 SP
Maire - Hôtel de Ville -BP 6537 - 59386 Dunkerque cedex 1
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Trois d’entre eux m’ont répondu par courrier :
Messieurs Nicolas Sarkozy, Gérard Larcher et Michel Delebarre.
Je laisse au lecteur avisé le soin de juger par lui-même de la pertinence du contenu de ma lettre, d’une part, et surtout de leurs réponses (voir reproduction des lettres, scannées ci-dessous), d’autre part.
Adressée à chacun de ces hommes politiques, voici ma
Lettre citoyenne
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- Pierre-Yves GIRES -
* Note importante : la source de ma lettre peut être judicieusement consultée
le temps d’y visionner le remarquable film « l’Argent Dette ».
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Datée du 29 octobre 2008, voici la réponse écrite de
Monsieur Gérard LARCHER
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- Président du Sénat -
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Datée du 21 novembre 2008, voici la réponse écrite de
Monsieur Nicolas SARKOZY
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- Président de la République -
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.Datée du 8 décembre 2008, voici la réponse écrite de
Monsieur Michel DELEBARRE
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- Ancien ministre d'Etat -
- Député-maire de Dunkerque -
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En conclusion à ce chapitre inquiétant mais salutaire (!), je ne peux résister au plaisir de mettre ici en avant :
1°- Le message visionnaire d’un citoyen anonyme prénommé Eric, dont le billet est paru en novembre 2008 dans la rubrique courrier des lecteurs de l’hebdomadaire de qualité Télérama :
Rira bien… A tous ceux qui pensent que le capitalisme marche sur la tête, il faut leur proposer d’attendre un peu. Leur moment va venir. Laissez passer le vacarme produit par la bulle qui explose… Laissez les gouvernements éteindre à coups de milliards cette crise qui enfle et menace le cœur même du système. Ces pompiers pyromanes y arriveront sans doute, leur énergie est toute tendue vers cet objectif. Quand le moment sera venu de tirer un trait et de faire l’addition, il faudra alors qu’ils nous expliquent, qu’ils s’expliquent. Pendant des décennies, on nous a fait croire que l’argent manquait pour donner de l’eau à ceux qui ont soif, pour éduquer ceux qui ne pouvaient même pas s’acheter un stylo, pour nourrir ceux qui ont faim, pour soigner ceux qui souffrent, pour préserver notre environnement. Comment justifieront-ils alors ces milliards de dollars et d’euros trouvés si rapidement pour sauver des banques et des Bourses ? Donc, attendez un peu… Votre temps arrive et vos questions seront soutenues par des millions de personnes qui auront vu la réalité du système, les mensonges de nos dirigeants, le cynisme des financiers… Patience donc. Une page se tourne et elle est tournée contre leur gré par ceux mêmes qui ont toujours refusé de la toucher.
- Eric (Besançon. France) -
2°- La phrase explicite d’un autre citoyen anonyme prénommé François, dont la note est parue elle aussi en novembre 2008 dans la rubrique courrier des lecteurs de l’hebdomadaire Télérama :
HOLD-UP. Le banquier a un gros avantage sur le braqueur lambda, c’est qu’il est déjà à l’intérieur de l’établissement…
2°- La phrase explicite d’un autre citoyen anonyme prénommé François, dont la note est parue elle aussi en novembre 2008 dans la rubrique courrier des lecteurs de l’hebdomadaire Télérama :
HOLD-UP. Le banquier a un gros avantage sur le braqueur lambda, c’est qu’il est déjà à l’intérieur de l’établissement…
- François (Paris. France) -
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